Après Richard Galliano dimanche, c’est le trompettiste libanais Ibrahim Maalouf qui a honoré ce second rendez-vous des Beaux Jours de Biarritz, conclus sans fausses notes pour son édition zéro.
Trois jours après la belle soirée d’inauguration du festival des Beaux Jours par Richard Galliano et l’orchestre Confluences, la salle du Casino Municipal de Biarritz a de nouveau fait le plein pour la venue du trompettiste libanais, Ibrahim Maalouf, accompagné du joueur syrien de oud Samir Homsi et d’une formation jazz (piano, contrebasse, batterie et saxophone).
Eklektika absent de la soirée, les photographes de l’agence Photomobile comblent notre regret, par le retour en images de cette soirée, terminée par une ovation debout de tous les spectateurs présents.
« Si vous aviez des à prioris sur la trompette, Ibrahim Maalouf risque bien de les faire tomber ! Après une session orientale avec son ami Samir Homsi, les spectateurs bien placés et aux oreilles attentives ont eu la surprise et le plaisir de savourer le petit cliquetis des pistons de « La Trompette » et surtout la respiration, le souffle discret de l’artiste, qui en disent long sur la difficulté et la maîtrise de cet instrument et qui nous invitent aussi à une respiration et une écoute différentes », écrivent-ils sur leur site.
Les images sont là.
Et le son, celui de son Beirut, est là.
Il ne reste plus désormais qu’à patienter jusqu’en 2016, pour que les promesses de l’édition zéro de ces Beaux Jours, à Biarritz, soient transformées l’an prochain par de belles affiches comme ces deux premières invitations.
Les Beaux Jours de Biarritz
Crédit photos : agence Photo Mobile
Patrick Tohier – Nicolas Mollo
Agence Photomobile
3 Chemin Oso
64210 Ahetze/Ahetzen
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